Sur neuf millions des cas infectés au bacille de KOCH un tiers des patients réside en Afrique.
Quatre nouveaux cas parmi lesquels trois enfants en meurent toutes les minutes .L’heure est grave. L’agent vecteur dans cette situation plutôt désolante, n’est pas à chercher trop loin; elle est tout simplement la résultante de la résistance aux gènes métabolisants, encore appelés virus ou bactéries.
La plupart de ces produits pharmaceutiques, avaient été mis sur pied depuis plus de cinquante ans. Il n’est donc pas étonnant de voir le plus souvent ces malades développer d’autres pathologies. Cela n’est pas un fait de hasard. Il est bien sûr prouvé que les antibiotiques tels, le Rifanpin ou autre Isoniasid, n’ont plus aucun effet sur un patient diagnostiqué positif au bacille de Koch.
En effet, il s’avère qu’après deux à trois mois, le corps humain développe des antigènes une sorte d’auto défense, sur tout ce qui serait susceptible de porter atteinte au bon fonctionnement de celui-ci. Or il en revient que les patients soient sommés d’en prendre au moins pour une durée lassante et perturbée de six mois.
Fort de ce constat, les scientifiques chevronnés du groupe Novartis, une des filiales agrées par l’OMS s’est retrouvé à Yaoundé la capitale politique du Cameroun, pour se réunir en atelier afin de mieux échanger des connaissances sur les avancées scientifiques.
Le Dr Paul Herrling, responsable de cette structure internationale a tenu en haleine près de deux cent médecins ingénieurs et autres chercheurs confondus venus de partout dans le monde, le but étant de proposer un antibiotique efficace ayant une périodicité courte et en même temps équilibrée. Une semaine d’affilée de dur labeur pour une finalité on ne peut plus probant. En un mois désormais, il est possible d’éradiquer complètement cette maladie. Les années avancent et, la technologie aussi.
Lionnel Bayong (+237 70104248)
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